"Je venais d'entrer dans les vestiaires comme à chaque fois que je revenais de mon footing. J'avais demandé à mon entraîneur si c'était possible d'avoir les clés pour que je puisse m'entraîner. Il avait accepté en me disant que je faisais le bon choix. Ouais, tu parles. Tout ce qui l'intéressait c'était les points que j'allais rapporter à l'équipe.
Je venais à peine de mettre les pieds à l'intérieur que je fus brusquement pousser contre le mur qui donnait sur les douches.
— Salut, beau gosse me dit une voix virile que je reconnaîtrais entre mille.
— Bret ? Mais qu'est-ce que tu fiches ici ? demandais-je en le regardant droit dans les yeux.
— À ton avis ?
J'allais lui répondre quand je sentis ses mains puissantes courir sur moi et agripper la couture de mon bas de survêtement. Il n'allait quand même pas faire pensais-je soudain ? Il savait qui j'étais. Il savait qu'il n'y aurait rien entre nous. Lui et moi... c'était voué à l'échec.
— Ne le fais pas. Tu connais ma réponse sur ce sujet et je refuse.
— Il ne fallait pas me tenter, J.D.
J'entendis soudain le bruit d'un t-shirt qui se déchire résonner dans le silence du vestiaire. Les mains de Bret se mirent à me caresser le torse, comme s'il cherchait à mémoriser les muscles qui roulaient sous ma peau en sueur. Je le regardais et le sourire qu'il m'adressa fit battre mon coeur comme jamais. Je le regarde tirer sur sa chemise et vois les boutons voler dans les quatre quoi de la pièce. Merde ! Ce n'était pas prévu ça.
Je ne pus m'empêcher de le détailler. Il avait un torse parfait. Pas un gramme de graisse et... un torse légèrement velu se qui aurait pu me convenir si... mes pensées furent soudain court-circuitées quand le vit tomber à genoux devant moi, entraînant mon bas de survêtement dans le mouvement. Je me retrouve là, soudain nu et exposé à ses regard et... Putain de merde ! Ma queue réagit à se proximité. Ce n'était pas possible. Non. Je devais penser à autre chose. Je ne devais pas bander. Hors de question.
J'allais lui dire d'arrêter ses conneries quand un premier coup de langue sur mon gland me coinça les mots dans ma gorge. Je pris appuie contre le mur et laisser échapper un râle de plaisir quand je sentis soudain ses lèvres glissées lentement autour de moi pour m'engloutir d'un seul mouvement.
La sensation de sa barbe contre mes poils pubiens eut raison de moi. Je donnais un coup de reins pour m'enfoncer dans le fond de sa gorge. Je sens sa main se poser sur ma cuisse et... il commença un lent mouvement de va-et-vient autour de moi. C'est bon, c'est chaud et... c'est la plus belle pipe que je reçois de tout ma vie.
Et le comble, c'était un homme qui me la donnait. J'avais pourtant eu un nombre incalculable de filles dans mon lit, mais aucune n'avait réussi à me faire une gorge profonde. Et c'était ce que Bret faisait. Je pouvais sentit mon gland buter contre l'arrière de sa gorge et c'était la plus belle chose que l'on puisse me faire.
J'aurais aimé pouvoir glisser mes doigts dans ses cheveux, mais... je devais garder mes mains contre le mur. Il fallait que je me soutienne sinon... je risquais de flancher.
Ma tête basculée contre le mur derrière moi. Mes lèvres s'entrouvrirent pour laisser passer mes râles de plaisir alors qu'il me menait lentement, mais inexorablement vers les cimes du plaisir. Si'l continuait ainsi, je n'allais pas tarder à venir. Je sentais déjà mes boules se resserrer contre mon corps alors que l'orgasme était en train de brûler en moi.
— Bret ! murmurais-je dans un souffle.
Et c'est là que je le sentis. J'étais tellement pris par les sensations que je n'avais pas senti qu'il avait glissé deux doigts en moi.
Maintenant je savais ce qu'il voulait. Mais étais-je prêt à franchir le pas ?
Rien n'est moins sur.
***
Alors que je le sentais fouiller mon corps de ses doigts, des vagues de chaleur comme jamais je n'en avais reçu flambèrent en moi. C'était... je n'avais pas de mot assez fort pour définir les sensations que je ressentais. Entre ses lèvres qui m'enserraient comme un étau de chaleur, sa barbe qui chatouillait mes poils et ses doigts glissés en moi me virent me tordre de plaisir contre le mur.
Il fallait que je jouisse et vite. Sinon... ça n'irait absolument pas. J'étais tellement parti dans un monde de sensation que je ne le sentis pas relâcher ma queue. Ce n'est que lorsque mon visage frappa le mur de la douche que je compris qu'il venait de me retourner. Exposant mon cul à sa vue, à ses doigts et... Oh putain de bordel de merde !
Je me cambrais violemment quand sa langue remplaça ses doigts. Il me fouilla encore plus et c'était la première fois que quelqu'un me faisait un analincus et bon sang que c'était bon. C'était complètement explosif. Le pied d'enfer.
Je ne pouvais m'empêcher de me pousser contre lui. De pousser mon ouverture contre sa langue. Je criais quand sa barbe chatouilla cette fois-ci mes bourses et le résultat était... d'étonnant.
Je ne sut combien de temps il me prépara et franchement, qu'il l'est faut trois minutes ou une demi-heure, je m'en foutais. C'était la meilleure chose qui m'était arrivée.
J'allais me détourner quand je sentis soudain, son gland se pousser doucement contre moi. Je ruais pour l'empêcher. Je ne voulais pas aller jusque là. Je ne pouvais pas laisser un homme me prendre et encore moins sans rien autour de lui.
Mais alors que je pensais à ce truc, je me rendis compte que... je me mentais. Je me mentais à moi-même. Je l'avais regardé. À chaque fois que nous étions sous les douches, je n'avais pu empêcher mon regard de le détailler de la tête aux pieds. Lorsque je rentrais chez moi, je me glissais dans mon lit, prenais le lubrifiant et... je me branlais en imaginant que c'était lui que le faisait.
J'étais accro à ce mec et je venais seulement de m'en rendre compte. Je le voulais en moi. Je voulais qu'il me prenne. Je voulais tout de lui et cette vérité me fit peur. Peur et... l'excitais en même temps.
Je tournais la tête et le regardais par-dessus mon épaule.
— Si tu veux me baiser, protège-toi.
Il embrassa doucement mon épaule avant de me répondre d'une voix sensuelle :
— Je sais que tu es sain. J'ai vu tes résultats. Et les miens aussi. S'il te plait, J.D, laisse-moi sentir ta chaleur autour de moi. Laisse-moi sentir ta chair contre la mienne.
Comment voulez-vous que je reste insensible à cet homme.
— D'accord.
Je pris appuie contre le mur et cambrait mon dos. Un sourire me barra le visage quand il se frotta contre moi. Puis...il aligna son gland contre mon ouverture et... se poussa lentement en moi.
Je criais quand mes chairs intimes s'écartèrent pour lui laisser le passage. C'était si bon, mais je voulais plus. Beaucoup plus. Alors, sans lui donner le moindre signe, je m'empalais moi-même sur lui. Nous arrachant un cri à tout les deux. Je l'avais enfin au fond de moi.
C'était étrange et pourtant si... normal. L'avoir au fond de mon coeur était quelque chose de magique et magnifique. J'avais l'impression que lui et moi étions faits pour être ensemble. Nos deux corps s'emboitaient comme jamais je n'avais réussis à le faire avec une femme.
Gardant mes mains sur le mur, je commençais à bouger autour de lui. La douleur était toujours là, bien présente, et je savais qu'elle allait durée un petit moment, mais je m'en fichais. Il était là, c'était tout ce qui m'importait.
J'avais lentement pris un rythme de croisière lent autour de lui quand je ses deux mains agrippèrent mes hanches. Et il me pilonna. Durement. M'arrachant des cris de plus en plus rauque. De plus en plus bruyants.
Il me fit l'amour avec brutalité, me faisant tellement crier, que je venais à avoir mal à la gorge. Et plus il venait en moi rapidement, plus le plaisir grimpait en moins. Tel un tsunami prêt à tout noyer sous son passage.
Je saisissais mon érection et commençais à me branler au rythme de ses assauts en moi. J'étais au bord de l'explosion.
Un. Deux. Trois coups de reins brutaux plus tard et je jouissais sur ma main et le mur. Mon râle de plaisir résonnant dans tout le vestiaire. Si quelqu'un était venu, sûr qu'il m'aurait entendu. Enfin... nous aurait entendu. Car le bruit de la chair contre la chair...
Je le sentis m'accompagner à grand coup de reins lors de ma jouissance. Et alors que je pensais qu'il avait joui en même temps que moi, je le sentis planter ses doigts dans la chair de mes hanches et se planter au plus profond de mon coeur.
Sa semence se déversa en moi en longs jets brûlants qui m'arrachèrent un nouveau cri. Bordel, c'était si bon. Sin foutrement bon. Je m'effondrais contre le mur en face de moi en haletant.
Je ne pus m'empêcher de gémir quand je sentis sa queue glisser hors de moi et générer un immense vide. J'aurais voulu qu'il reste plus longtemps en moi. Alors, pour être sûr de garder un morceau de lui, je serrais les fesses. Je ne voulais pas perdre sa semence. Je voulais la garder encore un peu.
J'allais fermer les yeux quand sa main glissa sous mon menton et me fit tourner la tête. Je le regardais, les yeux vitreux de notre ébat. Puis sa bouche fut sur la mienne. Sa langue dans ma bouche et je répondis à son baiser.
Lorsqu'il rompit son baiser, il posa son front contre ma tempe et... murmura :
— Je t'aime, J.D. Je t'ai toujours aimé.
Et à ma plus grande surprise, je m'entendis dire :
— Je t'aime aussi Bret.
Et pour la première fois de toute ma putain de vie, je le pensais. Je le pensais vraiment.
Bonjour, je m'appelle J.D et... je suis gay."
Je venais à peine de mettre les pieds à l'intérieur que je fus brusquement pousser contre le mur qui donnait sur les douches.
— Salut, beau gosse me dit une voix virile que je reconnaîtrais entre mille.
— Bret ? Mais qu'est-ce que tu fiches ici ? demandais-je en le regardant droit dans les yeux.
— À ton avis ?
J'allais lui répondre quand je sentis ses mains puissantes courir sur moi et agripper la couture de mon bas de survêtement. Il n'allait quand même pas faire pensais-je soudain ? Il savait qui j'étais. Il savait qu'il n'y aurait rien entre nous. Lui et moi... c'était voué à l'échec.
— Ne le fais pas. Tu connais ma réponse sur ce sujet et je refuse.
— Il ne fallait pas me tenter, J.D.
J'entendis soudain le bruit d'un t-shirt qui se déchire résonner dans le silence du vestiaire. Les mains de Bret se mirent à me caresser le torse, comme s'il cherchait à mémoriser les muscles qui roulaient sous ma peau en sueur. Je le regardais et le sourire qu'il m'adressa fit battre mon coeur comme jamais. Je le regarde tirer sur sa chemise et vois les boutons voler dans les quatre quoi de la pièce. Merde ! Ce n'était pas prévu ça.
Je ne pus m'empêcher de le détailler. Il avait un torse parfait. Pas un gramme de graisse et... un torse légèrement velu se qui aurait pu me convenir si... mes pensées furent soudain court-circuitées quand le vit tomber à genoux devant moi, entraînant mon bas de survêtement dans le mouvement. Je me retrouve là, soudain nu et exposé à ses regard et... Putain de merde ! Ma queue réagit à se proximité. Ce n'était pas possible. Non. Je devais penser à autre chose. Je ne devais pas bander. Hors de question.
J'allais lui dire d'arrêter ses conneries quand un premier coup de langue sur mon gland me coinça les mots dans ma gorge. Je pris appuie contre le mur et laisser échapper un râle de plaisir quand je sentis soudain ses lèvres glissées lentement autour de moi pour m'engloutir d'un seul mouvement.
La sensation de sa barbe contre mes poils pubiens eut raison de moi. Je donnais un coup de reins pour m'enfoncer dans le fond de sa gorge. Je sens sa main se poser sur ma cuisse et... il commença un lent mouvement de va-et-vient autour de moi. C'est bon, c'est chaud et... c'est la plus belle pipe que je reçois de tout ma vie.
Et le comble, c'était un homme qui me la donnait. J'avais pourtant eu un nombre incalculable de filles dans mon lit, mais aucune n'avait réussi à me faire une gorge profonde. Et c'était ce que Bret faisait. Je pouvais sentit mon gland buter contre l'arrière de sa gorge et c'était la plus belle chose que l'on puisse me faire.
J'aurais aimé pouvoir glisser mes doigts dans ses cheveux, mais... je devais garder mes mains contre le mur. Il fallait que je me soutienne sinon... je risquais de flancher.
Ma tête basculée contre le mur derrière moi. Mes lèvres s'entrouvrirent pour laisser passer mes râles de plaisir alors qu'il me menait lentement, mais inexorablement vers les cimes du plaisir. Si'l continuait ainsi, je n'allais pas tarder à venir. Je sentais déjà mes boules se resserrer contre mon corps alors que l'orgasme était en train de brûler en moi.
— Bret ! murmurais-je dans un souffle.
Et c'est là que je le sentis. J'étais tellement pris par les sensations que je n'avais pas senti qu'il avait glissé deux doigts en moi.
Maintenant je savais ce qu'il voulait. Mais étais-je prêt à franchir le pas ?
Rien n'est moins sur.
***
Alors que je le sentais fouiller mon corps de ses doigts, des vagues de chaleur comme jamais je n'en avais reçu flambèrent en moi. C'était... je n'avais pas de mot assez fort pour définir les sensations que je ressentais. Entre ses lèvres qui m'enserraient comme un étau de chaleur, sa barbe qui chatouillait mes poils et ses doigts glissés en moi me virent me tordre de plaisir contre le mur.
Il fallait que je jouisse et vite. Sinon... ça n'irait absolument pas. J'étais tellement parti dans un monde de sensation que je ne le sentis pas relâcher ma queue. Ce n'est que lorsque mon visage frappa le mur de la douche que je compris qu'il venait de me retourner. Exposant mon cul à sa vue, à ses doigts et... Oh putain de bordel de merde !
Je me cambrais violemment quand sa langue remplaça ses doigts. Il me fouilla encore plus et c'était la première fois que quelqu'un me faisait un analincus et bon sang que c'était bon. C'était complètement explosif. Le pied d'enfer.
Je ne pouvais m'empêcher de me pousser contre lui. De pousser mon ouverture contre sa langue. Je criais quand sa barbe chatouilla cette fois-ci mes bourses et le résultat était... d'étonnant.
Je ne sut combien de temps il me prépara et franchement, qu'il l'est faut trois minutes ou une demi-heure, je m'en foutais. C'était la meilleure chose qui m'était arrivée.
J'allais me détourner quand je sentis soudain, son gland se pousser doucement contre moi. Je ruais pour l'empêcher. Je ne voulais pas aller jusque là. Je ne pouvais pas laisser un homme me prendre et encore moins sans rien autour de lui.
Mais alors que je pensais à ce truc, je me rendis compte que... je me mentais. Je me mentais à moi-même. Je l'avais regardé. À chaque fois que nous étions sous les douches, je n'avais pu empêcher mon regard de le détailler de la tête aux pieds. Lorsque je rentrais chez moi, je me glissais dans mon lit, prenais le lubrifiant et... je me branlais en imaginant que c'était lui que le faisait.
J'étais accro à ce mec et je venais seulement de m'en rendre compte. Je le voulais en moi. Je voulais qu'il me prenne. Je voulais tout de lui et cette vérité me fit peur. Peur et... l'excitais en même temps.
Je tournais la tête et le regardais par-dessus mon épaule.
— Si tu veux me baiser, protège-toi.
Il embrassa doucement mon épaule avant de me répondre d'une voix sensuelle :
— Je sais que tu es sain. J'ai vu tes résultats. Et les miens aussi. S'il te plait, J.D, laisse-moi sentir ta chaleur autour de moi. Laisse-moi sentir ta chair contre la mienne.
Comment voulez-vous que je reste insensible à cet homme.
— D'accord.
Je pris appuie contre le mur et cambrait mon dos. Un sourire me barra le visage quand il se frotta contre moi. Puis...il aligna son gland contre mon ouverture et... se poussa lentement en moi.
Je criais quand mes chairs intimes s'écartèrent pour lui laisser le passage. C'était si bon, mais je voulais plus. Beaucoup plus. Alors, sans lui donner le moindre signe, je m'empalais moi-même sur lui. Nous arrachant un cri à tout les deux. Je l'avais enfin au fond de moi.
C'était étrange et pourtant si... normal. L'avoir au fond de mon coeur était quelque chose de magique et magnifique. J'avais l'impression que lui et moi étions faits pour être ensemble. Nos deux corps s'emboitaient comme jamais je n'avais réussis à le faire avec une femme.
Gardant mes mains sur le mur, je commençais à bouger autour de lui. La douleur était toujours là, bien présente, et je savais qu'elle allait durée un petit moment, mais je m'en fichais. Il était là, c'était tout ce qui m'importait.
J'avais lentement pris un rythme de croisière lent autour de lui quand je ses deux mains agrippèrent mes hanches. Et il me pilonna. Durement. M'arrachant des cris de plus en plus rauque. De plus en plus bruyants.
Il me fit l'amour avec brutalité, me faisant tellement crier, que je venais à avoir mal à la gorge. Et plus il venait en moi rapidement, plus le plaisir grimpait en moins. Tel un tsunami prêt à tout noyer sous son passage.
Je saisissais mon érection et commençais à me branler au rythme de ses assauts en moi. J'étais au bord de l'explosion.
Un. Deux. Trois coups de reins brutaux plus tard et je jouissais sur ma main et le mur. Mon râle de plaisir résonnant dans tout le vestiaire. Si quelqu'un était venu, sûr qu'il m'aurait entendu. Enfin... nous aurait entendu. Car le bruit de la chair contre la chair...
Je le sentis m'accompagner à grand coup de reins lors de ma jouissance. Et alors que je pensais qu'il avait joui en même temps que moi, je le sentis planter ses doigts dans la chair de mes hanches et se planter au plus profond de mon coeur.
Sa semence se déversa en moi en longs jets brûlants qui m'arrachèrent un nouveau cri. Bordel, c'était si bon. Sin foutrement bon. Je m'effondrais contre le mur en face de moi en haletant.
Je ne pus m'empêcher de gémir quand je sentis sa queue glisser hors de moi et générer un immense vide. J'aurais voulu qu'il reste plus longtemps en moi. Alors, pour être sûr de garder un morceau de lui, je serrais les fesses. Je ne voulais pas perdre sa semence. Je voulais la garder encore un peu.
J'allais fermer les yeux quand sa main glissa sous mon menton et me fit tourner la tête. Je le regardais, les yeux vitreux de notre ébat. Puis sa bouche fut sur la mienne. Sa langue dans ma bouche et je répondis à son baiser.
Lorsqu'il rompit son baiser, il posa son front contre ma tempe et... murmura :
— Je t'aime, J.D. Je t'ai toujours aimé.
Et à ma plus grande surprise, je m'entendis dire :
— Je t'aime aussi Bret.
Et pour la première fois de toute ma putain de vie, je le pensais. Je le pensais vraiment.
Bonjour, je m'appelle J.D et... je suis gay."