Je ne serais jamais si j'arrivais à l'oublier. Il est la pire chose qui pouvait m'arriver. Il était arrogant et bien plus encore. Mais le plus drôle dans la situation actuelle, c'était que l'un comme l'autre étions deux Dieux. Et pas n'importe lesquels. Les Dieux les plus puissants et encore pires, ceux que les humains avaient appris à utiliser à leur façon. Nous les avions contaminés en utilisant nos pouvoirs. Oh, je vous vois venir. Je vois même vos têtes d'ici. Vous vous demandez ce que je raconte. Et bien... laissez-moi vous raconter une petite histoire.
Nous existons depuis la nuit des temps. Nous avons tous été là depuis la création de ce monde. Bon, en faite nous avions créé le monde. Nous avons fait de vous ce que vous êtes aujourd'hui. Des personnes dépendantes de nous et de notre pouvoir. Chacun de nous à insuffler à vous, humain une partie de notre essence. Une partie de nous qui je dois vous dire, nous fait bien rire.
Vous vous demandez certainement de quoi je parle. Mais j'y arrive mes amours. J'y arrive. Chaque Dieu que nous sommes à une particularité. Nous possédons en nous les péchés capitaux. Il me semble que vous avez fait la connaissance de Dieux qui possède la colère. Vincent et de son cher et tendre, Max/Bastien. Je dois dire que c'est deux là étaient fait pour être ensemble. Je dois reconnaître que la première fois où nous avons découvert ce qui se tramait entre eux nous nous a mis dans une colère noire. Nous avions même essayé de tuer le petit humain qui avait ravi le coeur de notre cher dieu de la colère.
Jusqu'à ce que nous découvrions que ce petit humain était en réalité le Dieu du Feu. Il nous avait bien eus sur ce coup. Mais connaissant Bastien mieux que quiconque, je savais qu'il allait finir par faire ouvrir les yeux à Vincent. Deux siècles que ces deux-là se tournaient autour sans jamais se dire qu'ils s'aimaient. Croyez-moi, les voir se tourner autour en sachant l'amour qu'il y avait entre eux et ne pas pouvoir intervenir, c'est chiant.
Pour mon compte, je passais de lit en lit. Je ne restais jamais avec le même homme. J'étais un solitaire si vous voyez ce que je veux dire. Pas d'attaches, pas de souffrance. Être amoureux était stupide et complètement ridicule. Je sais, vous vous dites que je suis blasé. Et c'est un peu le cas. J'ai été amoureux autrefois. J'aurais donné mon immortalité pour pouvoir vivre avec lui. Mais il avait préféré un autre dieu. Celui qui me révulsait le plus au monde et celui que je devais affronter une nouvelle fois.
Je me rendis sur la terrasse qui surplombait la rue en dessous et regardais les lumières de la ville qui s'étendaient à perte de vue. J'aimais la cité des anges. J'aimais voir toutes ses lumières qui éclairaient cette ville qui ne dormait presque jamais. Je laissais échapper un soupir. J'aurais tellement aimé remonter chez moi. Dans les cieux. Là où était ma place. Là ou j'étais bien. Là où je ne pouvais pas souffrir de la bêtise humaine et là où je ne pouvais pas être corrompu.
— Mon tendre amour. Mon petit sucre d'orge à moi roucoula une voix virile et charger de luxure.
Merde, il était arrivé plus tôt que prévu. Je n'avais pas pensé une seule seconde qu'il viendrait avec une heure d'avance. Je n'étais pas prêt à lui dire mes quatre vérités. Je n'avais rien préparé et j'allais encore me ridiculiser devant lui. Et comme à chaque fois, il allait une nouvelle fois se foutre de moi.
— Je ne suis ni ton tendre amour et encore moins ton sucre d'orge.
— Oh, allez Nicholas. Tu ne peux pas dire que je ne fais pas d'effort avec toi. Tu veux que je te nomme comment ? Poussin ? Ça ne t'irait pas. Mon petit canard ? Non plus.
Je soupirais. Ce n’était pas possible. Il n'arrêterait donc jamais. Je n'en pouvais plus de ses petits surnoms ridicules qu'il me donnait. Et encore plus quand il les disaient avec cette voix sexy qui me donnait des frissons partout. Oh, je ne vous l'ai pas dit. Sony est le Dieu de la luxure. Et il s’est mis en tête de faire de moi son prochain repas. Autrement dit, me mettre dans son lit. À l'heure actuelle, j'étais le seul qui lui résistait le plus. Je ne voulais en aucun cas devenir son amant. Aussi beau soit-il.
Mais alors, si je ne voulais pas devenir son amant, pourquoi ne pouvais-je pas empêcher mes yeux de dériver sur lui. De regarder la musculature qui était mise en valeur par le t-shirt noir et le pantalon en jean blanc qu'il portait. Pourquoi sentais-je mon coeur se mettre à battre la chamade quand je vis sa langue passée sur ça lèvre inférieure et la lécher de façon si sensuelle. Pourquoi me faisait-il ressentir tout cela ? Il n'avait pas le droit d'utiliser son pouvoir sur moi. C'était déloyal et il le savait.
— Tu sais que je déteste quand tu m'appelles comme ça. Je refuse que tu le fasses.
— Oh... dit-il en portant la main à son coeur. Tu viens de me fendre la poitrine. Pourquoi être aussi cruel avec moi, mon joli péché ?
Ce n’est pas possible. Il allait me rendre dingue.
— Parce qu'il me semble que toi et moi n'avons jamais élevé les cochons ensemble. Et je ne suis pas ton péché.
— Parce que tu crois que la gourmandise n'est pas un péché toi ? Bordel, Nicholas. Tu es tellement appétissant que personne ne peut te résister. As-tu une foutue idée, d'à quel point tu es une vraie tentation ? La gourmandise qui pourrait faire grossir rien qu'en la regardant.
Je le regardais bouche béé. Il plaisantait là ? Il était en train de me faire une foutue plaisanterie.
— Tu es ridicule, Sony. Complètement ridicule.
— Je ne suis pas ridicule, Nicholas. À chaque fois que je te vois, je n'ai qu'une envie c'est de planter mes dents dans ta foutue chair.
Je venais de tomber dans un monde parallèle, ce n'était pas possible autrement.
— Je te désire tellement, Nicholas. Tu es une obsession pour moi. Une véritable obsession et je n'ai qu'une seule envie, c'est de t'allonger sur cette satanée terrasse et de te faire l'amour comme un fou. Je t'image sans arrêt recouvert de chantilly et de te lécher comme une glace.
— Arrête Sony. Je te demande d'arrêter lui dis-je en levant la main pour interrompre le flot de ses paroles.
Je ne voulais plus entendre. Je commençais à réagir à ses paroles et je me détournais pour qu'il ne voie pas les sentiments qui pouvaient se lire sur les traits de mon visage. Pourquoi avait-il fallu qu'il me dise cela alors que je faisais tout pour oublier les sentiments qui remontaient à la surface à chaque fois que je le voyais. Je ne voulais surtout pas m'avouer que je l'aimais. Que je l'aimais comme un fou.
Il était le Dieu de la luxure bon sang. Je savais que les sentiments et le désir que je ressentais pour lui, c'était lui qui me les envoyait. Tout cela sortait par les pores de ça peau et cela me faisait mal. Je ne voulais pas qu'il utilise son pouvoir sur moi.
— Je n'utilise rien sur toi, ma gourmandise. Même si je pouvais en jouer sur toi, je ne le ferais pas. J'ai trop de respect pour toi.
J'ouvris les yeux que je n'avais pas eu conscience d'avoir fermés et me retournais pour le regarder. Bon sang, il était tellement beau. Tellement séduisant. Tellement... luxure. Elle sortait par tous les pores de ça peau et venait me frapper directement à l'entrejambe.
Je ne sus pas qui fit le premier pas, mais je me retrouvais soudainement dans une étreinte puissante. Les bras de Sony venaient de se refermer autour de moi alors que ça bouche, vorace ravageait la mienne. J'entourais son cou des miens et me plaquais étroitement contre lui. Me frottant contre ses hanches de manière sensuelle et totalement hors de mon contrôle. Je voulais m'abandonner dans cette luxure dans laquelle il voulait m'entraîner. Et je voulais toucher le fond avec lui.
Je fus doucement allongé sur le marbre rouge de ma terrasse alors que des mains douces et puissantes entreprirent de me déshabiller. Elles furent partout sur moi. Une langue chaude et humide les rejoignit et Sony me goûta comme il rêvait de le faire. Me disant entre chaque baiser que ma peau avait le goût du soleil et du sucre. Je ne pus m'empêcher de rire. J'étais bien loin de ressembler à une friandise et surtout à une gourmandise. Mais voilà, en ce moment, j'étais la gourmandise du Dieu de la luxure. Je n'existais plus que dans les caresses et les baisers qu'il me donnait.
Je soulevais les hanches quand je le sentis se frotter contre moi. Sentir la preuve de son désir, me prouvais qu'il avait envie de me faire l'amour. Qu'il me voulait comme je le voulais. Il n'avait jamais autant si bien porter son nom.
LUXURE.
Il me fit l'amour avec tendresse et passion. La plus belle chose qui me soit arrivée depuis des siècles. Je l'avais enfin dans le creux de mes cuisses. Je l'avais enfin à l'intérieur de moi.
Et c'était beau.
Et c'était divin.
Et c'était tout à la fois.
C'est dans un état de jouissance totalement que je criais mon amour pour lui et lui pour moi.
Et lorsqu'il s'effondra contre moi, je ne pus m'empêcher de resserrer mes cuisses et mes bras autour de lui. Je voulais le garder éternellement contre moi.
Il était à moi.
Et j'étais à lui.
Tout avait été dit.
Nous existons depuis la nuit des temps. Nous avons tous été là depuis la création de ce monde. Bon, en faite nous avions créé le monde. Nous avons fait de vous ce que vous êtes aujourd'hui. Des personnes dépendantes de nous et de notre pouvoir. Chacun de nous à insuffler à vous, humain une partie de notre essence. Une partie de nous qui je dois vous dire, nous fait bien rire.
Vous vous demandez certainement de quoi je parle. Mais j'y arrive mes amours. J'y arrive. Chaque Dieu que nous sommes à une particularité. Nous possédons en nous les péchés capitaux. Il me semble que vous avez fait la connaissance de Dieux qui possède la colère. Vincent et de son cher et tendre, Max/Bastien. Je dois dire que c'est deux là étaient fait pour être ensemble. Je dois reconnaître que la première fois où nous avons découvert ce qui se tramait entre eux nous nous a mis dans une colère noire. Nous avions même essayé de tuer le petit humain qui avait ravi le coeur de notre cher dieu de la colère.
Jusqu'à ce que nous découvrions que ce petit humain était en réalité le Dieu du Feu. Il nous avait bien eus sur ce coup. Mais connaissant Bastien mieux que quiconque, je savais qu'il allait finir par faire ouvrir les yeux à Vincent. Deux siècles que ces deux-là se tournaient autour sans jamais se dire qu'ils s'aimaient. Croyez-moi, les voir se tourner autour en sachant l'amour qu'il y avait entre eux et ne pas pouvoir intervenir, c'est chiant.
Pour mon compte, je passais de lit en lit. Je ne restais jamais avec le même homme. J'étais un solitaire si vous voyez ce que je veux dire. Pas d'attaches, pas de souffrance. Être amoureux était stupide et complètement ridicule. Je sais, vous vous dites que je suis blasé. Et c'est un peu le cas. J'ai été amoureux autrefois. J'aurais donné mon immortalité pour pouvoir vivre avec lui. Mais il avait préféré un autre dieu. Celui qui me révulsait le plus au monde et celui que je devais affronter une nouvelle fois.
Je me rendis sur la terrasse qui surplombait la rue en dessous et regardais les lumières de la ville qui s'étendaient à perte de vue. J'aimais la cité des anges. J'aimais voir toutes ses lumières qui éclairaient cette ville qui ne dormait presque jamais. Je laissais échapper un soupir. J'aurais tellement aimé remonter chez moi. Dans les cieux. Là où était ma place. Là ou j'étais bien. Là où je ne pouvais pas souffrir de la bêtise humaine et là où je ne pouvais pas être corrompu.
— Mon tendre amour. Mon petit sucre d'orge à moi roucoula une voix virile et charger de luxure.
Merde, il était arrivé plus tôt que prévu. Je n'avais pas pensé une seule seconde qu'il viendrait avec une heure d'avance. Je n'étais pas prêt à lui dire mes quatre vérités. Je n'avais rien préparé et j'allais encore me ridiculiser devant lui. Et comme à chaque fois, il allait une nouvelle fois se foutre de moi.
— Je ne suis ni ton tendre amour et encore moins ton sucre d'orge.
— Oh, allez Nicholas. Tu ne peux pas dire que je ne fais pas d'effort avec toi. Tu veux que je te nomme comment ? Poussin ? Ça ne t'irait pas. Mon petit canard ? Non plus.
Je soupirais. Ce n’était pas possible. Il n'arrêterait donc jamais. Je n'en pouvais plus de ses petits surnoms ridicules qu'il me donnait. Et encore plus quand il les disaient avec cette voix sexy qui me donnait des frissons partout. Oh, je ne vous l'ai pas dit. Sony est le Dieu de la luxure. Et il s’est mis en tête de faire de moi son prochain repas. Autrement dit, me mettre dans son lit. À l'heure actuelle, j'étais le seul qui lui résistait le plus. Je ne voulais en aucun cas devenir son amant. Aussi beau soit-il.
Mais alors, si je ne voulais pas devenir son amant, pourquoi ne pouvais-je pas empêcher mes yeux de dériver sur lui. De regarder la musculature qui était mise en valeur par le t-shirt noir et le pantalon en jean blanc qu'il portait. Pourquoi sentais-je mon coeur se mettre à battre la chamade quand je vis sa langue passée sur ça lèvre inférieure et la lécher de façon si sensuelle. Pourquoi me faisait-il ressentir tout cela ? Il n'avait pas le droit d'utiliser son pouvoir sur moi. C'était déloyal et il le savait.
— Tu sais que je déteste quand tu m'appelles comme ça. Je refuse que tu le fasses.
— Oh... dit-il en portant la main à son coeur. Tu viens de me fendre la poitrine. Pourquoi être aussi cruel avec moi, mon joli péché ?
Ce n’est pas possible. Il allait me rendre dingue.
— Parce qu'il me semble que toi et moi n'avons jamais élevé les cochons ensemble. Et je ne suis pas ton péché.
— Parce que tu crois que la gourmandise n'est pas un péché toi ? Bordel, Nicholas. Tu es tellement appétissant que personne ne peut te résister. As-tu une foutue idée, d'à quel point tu es une vraie tentation ? La gourmandise qui pourrait faire grossir rien qu'en la regardant.
Je le regardais bouche béé. Il plaisantait là ? Il était en train de me faire une foutue plaisanterie.
— Tu es ridicule, Sony. Complètement ridicule.
— Je ne suis pas ridicule, Nicholas. À chaque fois que je te vois, je n'ai qu'une envie c'est de planter mes dents dans ta foutue chair.
Je venais de tomber dans un monde parallèle, ce n'était pas possible autrement.
— Je te désire tellement, Nicholas. Tu es une obsession pour moi. Une véritable obsession et je n'ai qu'une seule envie, c'est de t'allonger sur cette satanée terrasse et de te faire l'amour comme un fou. Je t'image sans arrêt recouvert de chantilly et de te lécher comme une glace.
— Arrête Sony. Je te demande d'arrêter lui dis-je en levant la main pour interrompre le flot de ses paroles.
Je ne voulais plus entendre. Je commençais à réagir à ses paroles et je me détournais pour qu'il ne voie pas les sentiments qui pouvaient se lire sur les traits de mon visage. Pourquoi avait-il fallu qu'il me dise cela alors que je faisais tout pour oublier les sentiments qui remontaient à la surface à chaque fois que je le voyais. Je ne voulais surtout pas m'avouer que je l'aimais. Que je l'aimais comme un fou.
Il était le Dieu de la luxure bon sang. Je savais que les sentiments et le désir que je ressentais pour lui, c'était lui qui me les envoyait. Tout cela sortait par les pores de ça peau et cela me faisait mal. Je ne voulais pas qu'il utilise son pouvoir sur moi.
— Je n'utilise rien sur toi, ma gourmandise. Même si je pouvais en jouer sur toi, je ne le ferais pas. J'ai trop de respect pour toi.
J'ouvris les yeux que je n'avais pas eu conscience d'avoir fermés et me retournais pour le regarder. Bon sang, il était tellement beau. Tellement séduisant. Tellement... luxure. Elle sortait par tous les pores de ça peau et venait me frapper directement à l'entrejambe.
Je ne sus pas qui fit le premier pas, mais je me retrouvais soudainement dans une étreinte puissante. Les bras de Sony venaient de se refermer autour de moi alors que ça bouche, vorace ravageait la mienne. J'entourais son cou des miens et me plaquais étroitement contre lui. Me frottant contre ses hanches de manière sensuelle et totalement hors de mon contrôle. Je voulais m'abandonner dans cette luxure dans laquelle il voulait m'entraîner. Et je voulais toucher le fond avec lui.
Je fus doucement allongé sur le marbre rouge de ma terrasse alors que des mains douces et puissantes entreprirent de me déshabiller. Elles furent partout sur moi. Une langue chaude et humide les rejoignit et Sony me goûta comme il rêvait de le faire. Me disant entre chaque baiser que ma peau avait le goût du soleil et du sucre. Je ne pus m'empêcher de rire. J'étais bien loin de ressembler à une friandise et surtout à une gourmandise. Mais voilà, en ce moment, j'étais la gourmandise du Dieu de la luxure. Je n'existais plus que dans les caresses et les baisers qu'il me donnait.
Je soulevais les hanches quand je le sentis se frotter contre moi. Sentir la preuve de son désir, me prouvais qu'il avait envie de me faire l'amour. Qu'il me voulait comme je le voulais. Il n'avait jamais autant si bien porter son nom.
LUXURE.
Il me fit l'amour avec tendresse et passion. La plus belle chose qui me soit arrivée depuis des siècles. Je l'avais enfin dans le creux de mes cuisses. Je l'avais enfin à l'intérieur de moi.
Et c'était beau.
Et c'était divin.
Et c'était tout à la fois.
C'est dans un état de jouissance totalement que je criais mon amour pour lui et lui pour moi.
Et lorsqu'il s'effondra contre moi, je ne pus m'empêcher de resserrer mes cuisses et mes bras autour de lui. Je voulais le garder éternellement contre moi.
Il était à moi.
Et j'étais à lui.
Tout avait été dit.